Bell : Les soldats de Trudeau écoutent les « pleurnicheries » des Canadiens.

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mettre à jour. Flash infos. Jeudi matin. Abacus Data donne aux libéraux de Trudeau 15 points d’avance sur les conservateurs. L’approbation de Trudeau est de 27 %.

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Maintenant la colonne…

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Il n’offre que quelques calories de plus qu’un hamburger.

Le premier ministre Justin Trudeau, autrefois le messie des routes ensoleillées pour de nombreux Canadiens, autrefois entouré d’âmes en quête de selfies même dans les rues de Calgary, a maintenant son chemin politique dans les tranchées.

Lui et son parti ont chuté dans les sondages, sa disgrâce est enfin arrivée, et tout penseur profond qui mérite ses 45 secondes de perspicacité croit qu’il en profiterait si les Canadiens votaient aujourd’hui.

De nombreux Canadiens en ont assez. Pour être franc, ils sont en colère.

Le fait que le vote n’ait pas lieu aujourd’hui ou ne soit pas prévu prochainement est le côté positif du sombre nuage de Trudeau.

C’est ainsi que les soldats promenaient l’homme. Il est peut-être dans les cordes, mais il ne descendra pas.

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Pas encore.

Il a l’intention de se lever et de se battre.

“Je suis ici pour poursuivre le travail que nous accomplissons depuis de nombreuses années pour bâtir un Canada meilleur.”

Le Canada est meilleur ? Quelle phrase étrange dans les temps auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui. À quoi pourrait ressembler un Canada meilleur sous Trudeau?

Ne répondez pas. J’ai besoin de dormir la nuit.

Il dit qu’il est toujours excité. Il se dit déterminé. Il se dit implacable.

Il rencontre des députés libéraux et affirme qu’il y aura des discussions très franches.

Il croit clairement qu’il peut botter les fesses du chef conservateur Pierre Poilievre.

Il essaie de rattraper son retard.

Les experts canadiens affirment que les coûts élevés du logement constituent un gros problème, alors Trudeau dit que c’est un gros problème.

Le recensement canadien dit qu’il y a une crise du logement, alors Trudeau dit qu’il y a une crise du logement.

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Il a distribué une partie de la pâte à la ville de London (Ontario) pour construire des maisons.

Il s’agit de la première baisse de l’argent des contribuables destiné au logement depuis plus d’un an.

Trudeau dit que ce n’est que le début. Il veut que les Canadiens sentent qu’il ressent leur douleur.

Le Premier ministre affirme que le logement est un « problème pouvant être résolu ».

Il dit à la nation que son gouvernement libéral retrousse ses manches.

Le tableau est sombre.

Pour revenir à un logement que la plupart des gens peuvent réellement se permettre, les grands esprits de la Société canadienne d’hypothèques et de logement suggèrent que le pays aura besoin de 3,5 millions de logements d’ici 2030, en plus de ce qui sera construit dans le cadre du statu quo.

En Alberta, le nombre de logements supplémentaires nécessaires est supérieur à ce que des penseurs profonds avaient prédit l’année dernière.

Une nouvelle personne se demande pourquoi Trudeau n’explique pas ce qu’il va faire. Vous savez, ils appellent ça un plan.

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Il répond en ne répondant pas à la question. Restez à l’écoute. D’autres arrivent.

Trudeau présente ses idées comme si elles étaient aussi profondes que la théorie de la relativité restreinte d’Albert Einstein.

« L’un des problèmes fondamentaux en matière de logement est l’offre », dit-il.

L’offre et la demande. Voilà comment cela fonctionne. Repérez le roulement des yeux.

« La solution est de s’assurer que tout le monde travaille ensemble. »

ne dis pas ça.

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Le Premier ministre affirme que les villes doivent être « plus ambitieuses » et il distribuera l’argent des contribuables pour les inciter à se consacrer à la construction, à la construction et à la construction.

« Nous ne construisons pas assez rapidement de logements », dit Trudeau.

Je sais que vous voulez une autre châtaigne de la part de notre chef intrépide.

« Il faut beaucoup de travail pour construire des logements. »

Est-ce une déclaration si profonde qu’il faut allumer de l’encens au patchouli et contempler l’univers pendant un moment pour en saisir la profondeur ?

Question de la presse. Cela semble être une lente montée en puissance.

Le Premier ministre souhaite-t-il voir les prix de l’immobilier baisser ?

« Les prix des maisons ne peuvent pas continuer à augmenter », dit Trudeau.

tant pis.

Concernant l’humeur des Canadiens et même celle de certains libéraux, Trudeau nous dit : « Les gens se plaignent partout au pays ».

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“C’est une période très difficile pour presque tous les Canadiens. Les Canadiens ont besoin d’aide.”

Y compris lui, politiquement parlant.

On a également demandé à Trudeau pourquoi il prenait son temps pour aller de l’avant, ne serait-ce qu’un petit pas en matière de logement.

Il dit avoir répondu à cette question.

hein.

On vous a dit qu’il y avait quelque chose de proche du burger au menu du premier ministre.

Au moins, il n’a pas parlé indéfiniment de l’engagement de l’Alberta envers la ligne de conception Save the World de son mentor vert Stephen (Jesus Montréal) Guilbault.

“Il y a du travail à faire et nous restons concentrés là-dessus. J’ai travaillé dur et j’ai hâte de poursuivre ce travail.”

Cependant, Trudeau continue de persévérer, et pour l’instant, nous devons faire de même.

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